A l’initiative de Manu Pinto, une sortie de longue date avait été programmée: le trail des Cadoles au Riceys en Champagne. Au final, un trail qui ressemblait plus à un cross qu’à une course nature La raison de cette comparaison, le fait d’une pluie continue rendant le terrain fortement boueux. Eh oui, les vignes ne poussant pas sur le goudron, les trailers ont donc gouté au plaisir de la boue (demandez à Karine Menu….)
Le rendez-vous est fixé sur le parking du stade à 6 heures samedi matin. Ils sont une dizaine à prendre la route pour un voyage de 450 « bornes ». Arrivés à 10 h 45, juste le temps de récupérer les clés du gîte (heureusement il se situe au pied du départ de la course!!) et il est déjà midi, heure du premier départ pour les participants du 33 kilomètres avec un dénivelé de 1010 m, où sont inscrits Karine, Françoise et Najib. Ce parcours était très casse-pattes. Des montées, des descentes, peu de répit à la récupération. Il avait plus le profil d’un cross que d’un trail. En dépit de la difficulté, cette course nature offrait aux coureurs un paysage magnifique aux couleurs de l’automne.
Leurs résultats:
Françoise Solly 3e master femme 2 en 4h 11’01
Karine Menu 2e master femme 3 en 4 h 11’03
Najib Chadri 9e master homme 2 en 3 h 57’20
Puis à 13 h 30 était donné le départ du 18 km avec 590 m de dénivelé positif. Là aussi, de bons résultats de la parts de nos diésels. A commencer par la seule féminine évianaise de la course, Patricia Bruel qui prend le 3e rang des masters femmes 3 en 2h 17.
De retour à la compétition, Florent Menu prend la 2e place des masters 3 en 1h 52.
En masters 4 hommes, Michel Bruel 5e en 2h 04 – Marc Roché 8e en 2 h 13.
Ces sept athlètes ont été encouragés par les marcheurs du club qui ont arpenté les vignes du tracé. Merci à Céline Henry, Manu Pinto, tous deux blessés, sans oublier Ingrid Pinto et leur guide vigneron (ami de la famille Pinto).
Après les épreuves, les diésels se sont rendus chez le vigneron pour déguster le breuvage local suivi d’un resto et d’une bonne soirée pleine de bulles. Puis retour au gîte pour une bonne nuit de sommeil réparatrice où ils prennent un excellent petit déjeuner. Mais le séjour n’est pas terminé! Le copain vigneron leur propose une visite dans les vignes où les couleurs automnales sont superbes. Il est 11 h 15 quand tout ce petit monde reprend la route, direction Evian, mais avant, petit arrêt pour déjeuner. Ils arrivent à destination, il est 17 heures.
Petite anecdote du week-end: Michel avait les mollets qui pétillaient, certainement dû aux bulles de champagne….