Après 20 ans d’absence, le retour du Crapahut des Dahuts. Le Crapahut des Dahuts, précurseur des trails actuels, revient ! Durant 3 jours, du 25 au 28 juillet, les participants parcourront 160 kilomètres et plus de 9 000 de dénivelé. Le Crapahut est toujours l’un des raids les plus difficiles de France. « Nous sommes très heureux de retrouver cette épreuve ». « Entre La Côte et le Crapahut, c’est une vieille histoire d’amour ».
Avant son départ pour l’Ariège, Eric Mougey l’avait promis. Si une de ses chèvres donne naissance à un petit, il le surnommera Croucou! Et bien, l’ancien membre d’Off Course a tenu sa promesse! Confinée dans sa bergerie, l’une d’entre elles a mis bas à deux jolis cabris. Un évènement pour le nouvel agriculteur puisque ce sont des jumeaux qui sont apparus au matin du 24 mars dernier. Comme le veut le protocole, Elimac et Croucrou se sont fait bagués et plus exactement, ils ont eu les oreilles percées. Porté un jour Croucrou dans ses bras, Eric en rêvait, et depuis une semaine, il peut le faire tous les jours. Il est certain que dans quelques mois, ce ne sera plus possible. A ce moment là, il pourra dire « cabri c’est fini!!! »
A la veille du week-end Pascal, il aurait été dommage de passer à côté d’une telle nouvelle!
Je ne sais pas de quoi sera fait votre repas de Pâques, toujours est-il, qu’en regardant leurs assiettes, Marie-Laure et Eric se diront : « Y a pas à dire, Croucrou il est doux comme un agneau »!!! Longue vie à Croucou, et, en écrivant ses quelques phrases, ma pensée va vers l’homme et l’animal évidemment!
Des arbres en floraison, un soleil qui illumine la journée, rien de tel pour donner à ce décor un sentiment de bien-être! Booster les esprits, oublier pendant quelques heures ce drôle de contexte, c’est l’engagement que l’encadrement d’Evian Off Course tient à préserver. Moralement cela fait du bien et, l’initiative est fortement approuvée par les parents et surtout, les athlètes du club.
Samedi matin, l’entraînement s’est déroulé sur deux lieux différents. Tout d’abord, l’école d’athlétisme, ou plus communément appelé Camp de Lausanne, sous la responsabilité d’Aurélie Meneau et Edith Racasan, s’est retrouvé sur les chemins des parcs d’Amphion pour une séance d’endurance mêlée de sprints, de relais avec une quinzaine de participants. A leurs côtés, les poussins et benjamins, sous la houlette de Julien Crouvizier, ont foulé les trois parcs pour un travail d’endurance active. Le groupe comptait une dizaine de volontaires. Entre les absences pour Covid, pour cas contact, ou autres maladies, les responsables doivent jongler au mieux pour faire de ce rendez-vous hebdomadaire, un moment conviviale.
Pour le groupe « compétition », le rassemblement était prévu sur le parking du bois de ville. Au programme du jour, une sortie de onze kilomètres aux alentours d’Allinges, bois, carrière, chemins. le samedi est consacré aux sorties extérieures au bois de ville, ce qui enchante l’ensemble des acteurs présents.
Dimanche, l’entraînement s’est déroulé dans les bois. Heure d’été oblige, personne n’avait oublié de changer sa montre, peut-être l’entraîneur! Après un échauffement de vingt minutes, les athlètes ont eu droit à une séance intense avec un travail de mise en jambe sur 100 m en montée, puis montées / descentes continues pendant cinq minutes et, pour finir, quelques accélérations pour clore la séance.
Alors qu’en France les compétitions concernant les cross, le running sont interdites, hormis, pour les athlètes de haut niveau listés par le ministère des Sports, de l’autre côté de l’Atlantique, la situation est bien différente! Pour preuve, les victoires de début mars du jeune Arnaud Eymeric, étudiant dans l’état de la Virginie, et plus exactement, à l’Université privée de Davis & Elkins. Après une année chaotique, entrecoupée de blessures, Eymeric a repris tout doucement le chemin des entraînements du côté d’Annecy d’où il est originaire dans un premier temps, et aux Etats-Unis à son retour. Retrouvant la forme petit à petit, et, n’ayant pas chaussé les baskets depuis longtemps, c’est donc rempli de questions qu’il s’est présenté au départ de ces deux compétitions. Le 5 mars, au programme un cinq kilomètres, sur un chemin gravillonné , que le senior a remporté avec brio, le réconfortant sur sa condition physique. Quinze jours plus tard, il prenait part au championnat régional sur une distance de huit bornes. Engrangeant de la confiance, et, reprenant le goût à l’effort, l’évianais d’adoption a renoué avec le succès en s’adjugeant le titre. De quoi être satisfait de sa prestation. A peine la saison finie, Eymeric retrouvera, dès ce vendredi, la piste pour décrocher de nouveaux chronos qui lui permettront, peut-être, de performer et participer à des compétitions de niveau national. C’est tout ce qu’on lui souhaite.
Genève.
L’Harmony Genève Marathon for Unicef étalé sur un mois
Samedi matin, le groupe jeunes et adultes compétition ainsi que les enfants du Camp de Lausanne se sont retrouvés pour une séance au bois. Si pour les plus grands, l’entraînement consistait à effectuer une sortie longue (15 km au minimum), pour les plus jeunes âgés de 7 à 9 ans, au programme, un footing de 2,5 km entrecoupé de sprints et d’un relais. Pour finir en beauté, les enfants ont eu droit à une chasse aux bonbons, tout ceci, dans une superbe ambiance. Aurélie Meneau était assistée de Julien Crouvizier, qui comptait dans son groupe, une seule participante en la personne de Léna.
Dimanche matin, pas d’endurance mais une compétition. Après un bon échauffement, place à l’objectif du jour: effectuer la boucle jaune du bois « à fond », c’est à dire, tout donner pour couvrir la boucle le plus rapidement possible. Pas de tricherie possible car, l’oeil du tigre veille. Les athlètes participants se sont alors transcendés à l’image de Paul Hardivillé chez les hommes , et, Margot Guepratte du côté des féminines. Depuis le temps qu’il entraîne, Pascal Crouvizier, met chaque année cette séance au programme des ses ouailles. L’ancien international avait réalisé le chrono de 8’40. Paulo a échoué à cinq secondes du coach, gêné par un chien non attaché ! Margot a, quant à elle, réussi le meilleur temps de la gente féminine.
Le 27e Salon des Vins de Bordeaux et d’Aquitaine a connu une édition inédite. L’an passé, le salon a pu se dérouler sans soucis échappant au confinement instauré huit jours plus tard! Longtemps incertain, cette nouvelle édition a, tout de même , pu être réalisée mais sous la forme du « Click and Collect ». Alors que ces années passées plus de soixante-dix vignerons étaient réunis à la salle Olympe de la Cité de l’Eau, seulement une vingtaine d’entre- eux étaient présents sur le stabilisé du parking d’Amphion, sous le soleil certes, bravant la forte bise, notamment vendredi après-midi et samedi. En arrivant sur le lieu de la manifestation vinicole, on se serrait cru (normal pour un salon du vin!!) être sur un marché avec l’impossibilité de déguster le Bordeaux.
Pas de nettoyage, pas de rangement pour Evian Off Course seulement la mise en place des barrières le jeudi après-midi. Les deux jours suivants, les volontaires du club devaient informer les visiteurs et les diriger vers leur vigneron respectif et, veiller au bon déroulement du sens de circulation.
Merci à Aurélie Meneau, Eric Andréatta, Max Julliard, Gilles Boucansaud, Jacques Ozenda, Pascal Hardivillé, Evelyne et Philippe Neyrolles, Isabelle et Sébastien Ohl, Caroline et Sébastien Rocher Dominique et Pascal Crouvizier pour leur aide pendant ce salon, masqués et porteurs de gilets jaunes !
Les photos du week-end des 20 et 21 mars 2021. Merci aux photographes… en cliquant ICI
