EVIAN-LES-BAINS / Athlétisme : Off course a glané quatre labels FFA en 2021
Archives par auteur : G.B
Championnats départementaux de cross-country de l’Hérault : victoire de Margot Guepratte
Margot Guepratte qui fait ses études à Montpellier a pris part aux championnats départementaux de cross-country de l’Hérault qui se déroulaient à Montpellier – Château-d’O. La sociétaire d’Evian off Course, espoir 1re année remporte avec un peu plus d’une quinzaine de secondes d’avance le cross court féminin.
De bonne augure avant les championnats des Alpes qui auront lieu dimanche 30 janvier à Saint-Ferréol
EOC dans la presse
Pierre Lévisse : une passion autodidacte
Pierre Lévisse l’avoue sans peine : à 69 ans, il garde toujours une certaine nostalgie de ses années d’athlète. Avec quatre titres de champion de France de cross-country et quatorze participations aux championnats du monde de la spécialité (3 fois dans le top 10) entre 1976 et 1991 , il fut un grand spécialiste des labours, mais aussi un excellent pistard (13’32’’56 sur 5000 m et 27’50’’30 sur 10 000 m). Retour sur le parcours de ce passionné, qui s’est construit au fil des ans en autodidacte.
Vous souvenez-vous comment tout a commencé pour vous avec la course à pied ?
J’ai découvert l’athlétisme à 12 ans lors d’un cross interclasses de 600 m que j’avais gagné, malgré une chute au départ. Preuve que je devais avoir déjà quelques qualités.
En tous cas, à l’époque, j’aimais le sport en général. J’écoutais le Tour de France avec mon grand-père à la TSF et je rêvais devant mon idole Bahamontes que l’on surnommait « l’aigle de Tolède ». Pour autant, ce n’est qu’en minimes, après quelques compétitions scolaires, dont une deuxième place aux championnats de France UGSEL, que j’ai rejoint un club sur les conseils de mon professeur de sport. Mais c’était dur pour moi. Je m’entrainais très peu. Lors des compétitions, tout le monde partait très vite et je passais mon temps à devoir remonter… J’ai continué en cadets à faire quelques cross, mais je ne m’entraînais pas de manière régulière et j’ai fini par arrêté. Finalement, c’est à 20 ans, en 1972, alors que je cherchais du travail, que je m’y suis remis plus sérieusement.
Qu’est-ce qui vous a ramené vers l’athlétisme ?
Au départ, c’était juste l’envie de me défouler et de m’entretenir. De me vider la tête aussi. J’ai commencé par une petite demi-heure de footing par jour. Sans prétention. Mais quand les dirigeants du club d’Angers l’ont appris, ils m’ont contacté pour me faire revenir. J’ai accepté parce que j’avais envie de progresser. Je me souviens leur avoir dit : « Ok, mais si je reviens, ce n’est pas pour faire 4 minutes sur 1500 m ! » C’était peut-être un peu prétentieux à l’époque, mais j’avais vraiment envie d’améliorer mes chronos. J’avais vu les Jeux olympiques de Munich (1972) à la télévision, notamment Lasse Virén qui avait réussi le doublé 5000 m/10000 m. Ça m’avait marqué et, quelque part, j’avais envie de faire comme ces athlètes. Du jour au lendemain, je suis passé à 80 kilomètres par semaine, j’ai commencé à faire de la vitesse, des fractionnés, à faire attention à mon alimentation et j’ai très vite progressé.
Quatre ans plus tard, vous terminez troisième des championnats de France de cross. Ça n’a donc pas été une surprise ?
Pas vraiment. À cette époque, il fallait disputer toutes les compétitions qualificatives pour aller aux France : les départementaux, les régionaux, les interrégionaux. J’avais donc pu réaliser sur les courses précédentes que je pouvais rivaliser avec des individus qui étaient déjà parmi les dix meilleurs français. En plus, les championnats de France de cross étaient un peu le point d’orgue de la saison hivernale, après le cross du figaro. C’était l’occasion de se qualifier pour les championnats du monde car, à l’époque, la Fédération emmenait les 10 meilleurs français. Pour un jeune comme moi, c’était un tremplin formidable en termes de motivation. J’ai fini troisième derrière Jacky Boxberger et Jean-Paul Gomez, et j’ai décroché ma première sélection.
1976, c’est aussi l’année de votre première participation aux Jeux olympiques…
Tout le monde me disait que je pouvais me qualifier pour les Jeux de Montréal. En regardant mes chronos sur 5000 m et 10 000 m, j’ai fini par me convaincre qu’en m’entraînant un peu plus ça passerait. Mais ça ne marche pas comme ça en athlétisme… Il y a des paliers à respecter dans la progression. Et moi, j’en ai trop fait. Je m’en souviens très bien, j’avais quitté mes parents pour prendre un studio et me mettre dans ma bulle comme un moine. Il n’y avait plus que l’entraînement qui comptait. Je suis même passé à deux séances par jour à ce moment-là, une demi-heure le matin avant d’aller travailler et une séance le soir. Mais c’était trop. Je me suis qualifié pour les J.O. mais quand je suis arrivé à Montréal, j’étais totalement cuit ! C’était fini, je me suis arrêté dès les séries.
Ces Jeux vous ont tout de même fortement marqué…
J’en garde un énorme souvenir. C’est quand même la seule manifestation qui nous permet, en tant qu’athlète, de côtoyer l’ensemble des meilleurs sportifs mondiaux. Je me souviens avoir été très impressionné par l’haltérophile Vasily Alekseyev (ndlr : Union Soviétique, double champion olympique), qui était à l’époque l’homme le plus fort au monde… et avoir eu honte aussi face à Nadia Comaneci (ndlr : Roumanie, quintuple championne olympique, première gymnaste à obtenir la note parfaite de 10). Un midi, je venais de me servir une énorme entrecôte avec des frites lorsqu’elle s’est assise en face de moi avec dans son assiette un simple citron et trois pommes de terre à l’eau. Je m’en souviens encore.
Et sur le plan sportif, votre plus beau souvenir ?
Peut-être mon premier record de France sur 10 000 m à Stockholm, en 1978 (27’58’’05), parce que je ne m’y attendais pas du tout et que ça avait été très fort d’un point de vue émotionnel… Ou bien mon premier titre de champion de France en 1979. Cette victoire était peut-être attendue après mes deuxième et troisième places des années précédentes, mais cette année-là, je m’étais blessé deux semaines plus tôt au Touquet en courant sur la neige et je ne me sentais pas d’y participer. Finalement, j’ai quand même pris le départ, pour mon club et le classement par équipes, et j’ai fini premier à ma plus grande surprise. Comme quoi, il ne faut jamais baisser les bras.
Quel était le quotidien d’un athlète de haut niveau dans les années 80, 90 ? Comment vous entraîniez-vous ?
On courait beaucoup. Sans doute trop. En 1975, je faisais 500 km par mois, puis je suis monté progressivement à 600 km l’année des Jeux de Montréal. Lors de certaines préparations, il m’est arrivé de monter jusqu’à 750 km par mois. C’était très astreignant. Après, on ne faisait pas forcément du seuil, ce n’était pas encore dans les mœurs. En revanche on faisait déjà des sorties en fartlek en variant les allures. Personnellement, je faisais aussi deux séances de piste par semaine et j’intégrais parfois un peu de sprint en effectuant des 50 et des 80 m. Mais je pense que la vraie différence avec aujourd’hui, c’est qu’on participait à énormément de courses le week-end. L’année de mon premier titre, j’avais disputé 25 compétitions pendant l’hiver avant les France de cross. Ça a sans doute été l’erreur de notre génération. On courait beaucoup trop. On ne se souciait d’ailleurs pas beaucoup de la récupération et ça m’a joué des tours. J’ai eu pas mal de fractures de fatigue et j’ai toujours eu beaucoup de difficultés à performer l’été, car j’étais incapable de couper une semaine ou deux entre les deux saisons. Je ne savais pas le faire. Effectuer une coupure d’un mois, comme mon fils (Emmanuel, voir ci-dessous) peut le faire aujourd’hui, c’était totalement impensable pour moi.
Vous courez encore aujourd’hui ?
J’ai continué à courir jusque 44, 45 ans environ. J’ai même décroché un titre de champion de France vétérans (ndlr : il détient le record de France M40 du 10 000 m en 29’00’’ depuis 1992), mais je ne cours plus aujourd’hui. J’ai été opéré d’un ménisque et j’ai mal aux genoux. Je fais du vélo et de la marche pour m’entretenir. Le problème, c’est que j’ai gardé ce défaut de toujours vouloir être à la bagarre quand je fais quelque chose. Je devrais y aller tranquille, mais je ne sais pas le faire. Si je vois une cote, j’essaie toujours de monter le plus vite possible, et derrière, je mets six heures pour récupérer. Ce n’est pas vraiment ce que l’on appelle du sport santé.
Quel lien avez-vous finalement gardé avec l’athlétisme ?
Je n’ai jamais véritablement quitté le milieu. J’ai même créé en 1998 avec des copains un club, le Clamart Course sur Route 92 (CCR92), au sein duquel j’ai accepté de m’occuper des jeunes pendant plusieurs années. Une super époque ! J’avais un groupe d’athlètes très demandeurs et passionnés. J’ai adoré partager mon expérience avec eux. Ils ont été champions d’Ile-de-France minimes et je les ai emmenés jusqu’aux championnats de France de cross.
C’est une période au cours de laquelle vous avez également entraîné votre fils, Emmanuel Roudolff-Lévisse. Racontez-nous cette relation…
Ce n’est pas toujours facile d’entraîner son propre fils. Mais j’ai eu la chance d’avoir un garçon qui voulait progresser et qui aimait vraiment ce sport. La passion, c’est la base. Si le gamin n’est pas motivé, tu ne le feras pas monter sur un podium. Je pense que je lui ai apporté les bases et, aujourd’hui, j’essaie plus de lui donner des conseils quand il en a besoin. Mais je sens que depuis qu’il est junior, il a besoin de tracer sa propre route et de vivre sa propre expérience. Il a raison. Et d’ailleurs, il se débrouille plutôt bien. Après son expérience de trois ans aux USA, il a couru le marathon en 2h11. Moi, maintenant, je me sens un peu mal venu de lui dire ce qu’il faut faire alors que je n’ai pas fait mieux que 2h14 sur la distance… Mais on continue de partager des trucs et je l’accompagne encore lors de certaines compétitions. Ça me permet de revoir les copains et de garder un pied dans le milieu. Parfois, j’ai l’impression de ne pas avoir vieilli.
On vous sent nostalgique …
Oui, je le suis. Surtout quand je vois les athlètes courir comme à Montauban (le 14 novembre dernier), sur ce parcours des championnats de France. J’aurais aimé y être encore. C’est un parcours qui m’aurait bien plu et j’aurais tout fait pour gagner. Mais bon, la période n’est plus la même. C’est plus compliqué de briller aujourd’hui. Il y a moins de compétitions internationales et d’athlètes qualifiés pour les Mondiaux. Et les chronos sont déments… En tous cas, je les admire beaucoup, ceux qui courent aujourd’hui, parce que même si le matériel a beaucoup évolué, ils n’ont pas toujours les mécènes et les aides derrière pour les épauler. C’est beaucoup plus compliqué qu’à mon époque.
Propos recueillis par Véronique Bury
Photos : pressesports
Rédaction J’aime Courir, le 08/01/2022 15:32:00
EOC dans la presse
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Or, argent et bronze aux championnats 73-74 de cross-country pour EOC
2 médailles d’or et 1 médaille d’argent par équipes, 1 médaille d’argent et 3 médailles de bronze en individuels, soit un super total de 7 médailles aux championnats 73-74 qui se déroulaient sur l’hippodrome de Marlioz à Aix-les-Bains. De l’or par équipes pour les minimes garçons, le même métal pour les cadettes, on reste dans les équipes de l’argent pour les benjamines. Du côté des individuels, de l’argent chez les minimes garçons pour Nathan Leite, du bronze pour chez poussins pour Maxime Blanchard, le même métal chez les minimes filles pour Hannaé Tagand-Baud et pour terminer la série de bronze Florence Bairros sur le cross élite femmes. Un grand bravo à tous.
Les résultats complets et des photos prochainement.
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Cross-country : direction Aix-les-bains pour les départementaux 73-74
Une nouvelle fois l’hippodrome de Marlioz à Aix-les-Bains sera le théâtre des joutes départementales 73-74 de cross-country, cet hippodrome habitué aux grands évènements, puisque championnats de France et championnats du monde de cross-country se sont déjà déroulés sur le site…
Mais pour cette édition, et cela depuis 2020, nous partons une nouvelle fois dans le flou, avec des contraintes sanitaires très strictes : pass sanitaire pour rentrer sur le site à partir de 12 ans, le port du masque obligatoire pour tous à partir de 6 ans, sauf pour les athlètes en compétition, pas de restauration sur le site… voilà pour les principales mesures… Le menu de la journée n’est donc pas des plus réjouissants, mais laissons quand même les athlètes profiter de l’évènement entre Dent du Chat et Mont Revard, en espérant retrouver ceux-ci lors des championnats des Alpes fin janvier, en Haute-Savoie, du côté de Saint-Ferréol.
Le club sera une nouvelle fois bien représenté puisque pas moins de 49 athlètes sont engagés sur la première des 4 épreuves de cross-country, la dernière épreuve, les championnats de France de cross-country, mi-mars, aux Mureaux en Ile-de-France, cela pour les catégories de minimes à masters, les benjamins n’ayant pas de championnats de France au programme.
Bonne chance à tous sur un parcours qui devrait être un vrai terrain de cross… à la vue des conditions météorologiques annoncées pour dimanche.
Championnats de France 2022 : cross salle, running, piste
Le calendrier des différents championnats de France est quasiment à jour. Il faudra une fois de plus voyager, mais dans un premier temps se qualifier pour participer à un ou plusieurs championnats de France. N’apparaît pas dans les différents calendriers, les championnats de France de cross-country, qui auront lieu les 11-12-13 mars aux Mureaux (Ile de France)…
EOC dans la presse
Coupe de France de course en montagne 2021
Au classement final de la Coupe de France de course en montagne 2021, belle prestation de Florence Bairros qui prend la 4e place dans la catégorie élites femmes, toujours chez les filles, chez les juniors, 5e place pour Chloé Bened, 12e place pour Margot Guepratte et 18e place pour Inès Laury. Au classement par équipes, Evian off Course prend la 10e chez les féminines.
Calendrier des courses de Running 2022
Le calendrier des courses de Running de la Savoie et de la Haute-Savoie en cliquant ICI ou sur le visuel
2022 : les vœux d’André Giraud, président de la FFA
Mesdames et Messieurs,
Chers amis de l’athlétisme,
J’espère que vous avez tous passé d’excellentes fêtes de fin d’année.
Je vais profiter de ces premiers moments pour vous dire quels sont mes vœux les plus chers pour cette année 2022, qui va être une année décisive pour l’athlétisme français.
C’est au nom de la Fédération que je m’exprime, de toute mon équipe (élus, salariés, DTN et de ses cadres), c’est ensemble que nous avançons chaque jour, et ensemble que nous relèverons les défis de 2022, et ceux tous qui suivront jusqu’à la grande fête de 2024.
Notre vœu le plus cher, c’est que l’athlétisme français remplisse son rôle dans notre société, et ce, par différents leviers.
Avec le plus de licenciés possibles dans nos clubs. Nous avons retrouvé notre niveau de licences d’avant covid, notre ambition est désormais de le dépasser et d’accélérer encore notre développement. Comment ? En accompagnant encore mieux nos licenciés, nos clubs, nos structures avec plus de services et plus d’engagement.
Dans toute la France, sur tous les territoires, de Métropole et d’Outre-mer. Dans les stades, dans les écoles, dans la nature, l’accès à l’athlétisme est notre priorité. Dans toute la France, dans les quartiers prioritaires comme dans les campagnes, dans nos territoires d’Outre-Mer : partout l’athlétisme doit être accessible, et à tous les publics.
Que nos athlètes fassent rayonner la France dans toutes les disciplines de haut niveau. En 2022, le retour des équipes de France au premier plan, avec 17 rendez-vous internationaux au programme, nous enchante et nous motive tous. Nous souhaitons pleine réussite à tous nos bleus, dans toutes les disciplines qui font la richesse et la performance de notre Sport.
Que l’athlétisme soit utile aux Femmes et aux Hommes qui l’anime et le développe au quotidien : vous, bénévoles, dirigeants, juges, entraineurs…. Un programme d’activation territoriale avec nos partenaires publics et privés, que je remercie pour leur fidèle soutien et leur confiance, est développé en direction de nos structures territoriales, afin de mieux les accompagner dans la recherche de diversité et d’inclusion au service toutes et tous.
Qu’athlétisme rime avec ouverture, inclusion, diversité, mixité, citoyenneté, et surtout, une bonne santé à tous, et à tous les pratiquants.
L’athlétisme est notre bien commun, qui nous offre à tous la possibilité de bien vivre ensemble.
Je vous souhaite à tous une excellente année 2022,
Qu’elle rayonne par le sport et par ses valeurs.
FFA – Fédération Française d’Athlétisme
Le classement des clubs 2021
Evian off Course pointe au 9e rang des clubs départementaux sur l’année 2021.
Au niveau du classement des athlètes retrouve chez les féminines à la 1re place Margot Guepratte avec un niveau National 4, 2e place pour Pauline Ohl avec un niveau Interrégional 3 et sur la 3e marche du podium Manon Laporte avec un niveau Interrégional 4.
Chez les hommes la 1re place pour Romain Wyndaele avec un niveau National 2, sur les 2e et 3e marches du podium, Antoine Afflalo avec un niveau National 4 et Johan Chibko avec un niveau Interrégional 1.
Florence Bairros 2e à Firminy
La sociétaire d’Evian Off Course, Florence Bairros a pris une excellente 2e place samedi au cross Guy Dalban qui se déroulait à Firminy, bouclant les 6000 m de son parcours en 22’30 ». De bonne augure avec les échéances de janvier et février…
EOC dans la presse
Challenge de la Montagne Running Conseil 2022
11 courses, 4 courses Everest dont 4 trails, 1 montée sèche et 6 courses en montagne, voici donc le challenge de la Montagne Running Conseil 2022. La nouvelle course Le Lyaud Trail qui sera Everest ouvrira le bal le 27 mars et on terminera le 25 septembre également par un trail à Musièges qui sera aussi course Everest…
– 27/03 – Le Lyaud Trail (21 km) Everest
– 27/03 – Trail de la Michaille (Ain)
– 09/04 – Montée sèche du Salève
– 22/05 – La Grimpée du Ruisseau Everest
– 03/07 – Grimpée du Môle
– 10/07 – Assaut des Mémises à Thollon
– 06/08 – Trail des Hauts Forts (23 km)
– 20/08 – Le Bélier (27 km)
– 11/09 – Les Foulées Maglanchardes Everest
– 18/09 – Montée Chedde – Les Ayères
– 25/09 – Trail de Musièges Everest
Toutes les courses marquent les points suivants : 20-18-16-14-12-11-10-9-8-7-6-5-4-3-2-1
Les Courses Everest marquent le double de points.
4 courses obligatoires pour être classé dont 2 Everest
Prise en compte des 6 meilleures courses maximum dont 2 Everest obligatoires.
Les Juniors hommes et Femmes seront classés sur 4 courses minimum dont une Everest obligatoire.
La course du trail de Musièges servira à départager les éventuels ex-aequo.
A ceux qui participeront à plus de 6 épreuves, il sera attribué deux points de bonus supplémentaire par course et ceci à partir de la 7ème.